Castelmore Editions

The Corpse Queen

De : Heather M. HERRMAN
Paru le : 05/04/2023
Prix : 8.95 €
Isbn : 9782362316029
Format : Poche
Nombre de pages : 432
Traducteur : Alison JACQUET-ROBERT

Résumé de The Corpse Queen

Un thriller historique sombre et résolument féministe

Alors que sa meilleure amie Kitty vient de mourir dans des circonstances mystérieuses, Molly Green, orpheline de dix-sept ans, découvre l’existence d’une tante dont elle ne savait rien.

Richissime, Ava est disposée à prendre la jeune fille sous son aile… à condition que celle-ci soit prête à en payer le prix. Car Ava a bâti sa fortune en pillant des tombes pour revendre les dépouilles à des étudiants en médecine avides d’apprendre la chirurgie. Et elle veut que Molly l’aide à se procurer les corps.

Or à Philadelphie dans les années 1850, une jeune fille non mariée n’a que peu de perspectives. De plus, Molly est bien décidée à remonter la trace de l’étudiant qu’elle pense être l’assassin de Kitty. Elle accepte donc et découvre son nouveau métier… mais surtout, les leçons d’anatomie du docteur LaSalle, qui vont la fasciner. Mais à cette époque, aucune femme n’est censée étudier pour devenir chirurgienne. Et alors qu’un meurtrier sévit en ville et que la mort de Kitty reste impunie, la poursuite du savoir devient pour Molly une danse… mortelle.

 

« Bien écrit, intelligent et résolument sombre… ce roman immersif, aux accents de Frankenstein, évoque la misogynie, les disparités socioéconomiques et les normes sociales à l’époque des débuts de la chirurgie moderne. » Publishers Weekly

« Sombre. Étincelant. Dangereux. The Corpse Queen est délicieusement macabre et incroyablement décadent. Vous allez tomber sous le charme de Molly, dont l’esprit vif et la détermination sans faille l’aident à se frayer une place dans un monde dominé par les hommes. Un roman cinématographique, intelligent et captivant ; je l’ai dévoré d’une traite. »  Kerri Maniscalco, autrice de Stalking Jack the Ripper, bestseller #1 du New York Times

« L’intrigue est menée tambour battant, parmi les effluves de pourriture des morts, jusqu’à sa conclusion aussi satisfaisante que surprenante. Si la fille de Poe avait écrit une histoire, ce serait celle-ci. » Kirkus Reviews